Annulation d’une décision de refus d’une comed ne démontrant pas la gravité la permanence ni la récurrence d’un comportement violent du demandeur
T.A. Lyon, jugement n°1908283 du 24 décembre 2020
Lire la suite…T.A. Lyon, jugement n°1908283 du 24 décembre 2020
Lire la suite…T.A. Lyon, jugement n°1907873 du 21 décembre 2020
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Une personne est reconnue prioritaire pour un hébergement en juin 2016. Dans sa décision, la comed ne précise pas si la personne requérante doit être accueillie dans une structure d’hébergement d’urgence8, dans un logement de transition ou en logement-foyer.
En avril 2014, une personne est reconnue prioritaire pour bénéficier d’un hébergement sur le fondement de l’article L441-2-3 IV°7. N’ayant pas reçu de proposition dans le délai imparti, il forme un recours injonction qui est accueilli par le tribunal. Le préfet ne s’étant pas exécuté dans le délai imparti, le requérant forme un recours indemnitaire qui est rejeté puis se pourvoit en cassation devant le Conseil d’Etat.
Une personne reconnue prioritaire au titre du DALO se voit proposer un logement par l’Etat qui lui est ensuite refusé par la CAL. Le requérant forme un recours en excès de pouvoir contre cette décision qui est rejeté. Le requérant forme alors un pourvoi auprès du Conseil d’Etat qui annule la décision et renvoie l’affaire. Le tribunal ayant prononcé un non-lieu à statuer, le requérant saisit à nouveau le Conseil d’Etat.
Dans le cadre d’un recours injonction, un tribunal administratif condamne l’Etat au versement d’une astreinte de 700 € par mois de retard pour le relogement d’un requérant. Le préfet, s’estimant délié de son obligation en raison de l’absence de réponse du requérant à une proposition de logement, demande la liquidation définitive de l’astreinte.
Une personne reconnue prioritaire forme un recours injonction devant le tribunal administratif car elle n’a pas reçu de proposition dans le délai imparti. Le tribunal accueille sa demande et un logement lui est proposé, toutefois la commission d’attribution des logements (CAL) rejette sa candidature. Le demandeur forme un second recours injonction que le tribunal rejette, estimant qu’il n’y a pas lieu de statuer sur la demande car ce dernier a déjà obtenu une injonction du tribunal.
Une comed rejette le recours DALO d’un requérant au motif qu’il est déjà locataire du parc social, tout en reconnaissant la situation de suroccupation. Le requérant forme un recours en excès de pouvoir pour obtenir l’annulation de cette décision.
Une personne forme un recours DALO au motif d’une part, qu’elle n’a pas reçu de proposition de logement social dans le délai imparti alors que le logement où elle réside n’est pas adapté au handicap de son fils, et d’autre part qu’il est indécent
Une personne forme un recours gracieux contre la décision de rejet de son recours DALO par la comed. Celle-ci confirme la décision et la requérante forme alors un recours en excès de pouvoir.